C’est une dictature du prolétariat, certes, mais une dictature quand même.
Et je vous rappelle que le nazisme était aussi une dictature du prolétariat!
Malgré une assemblée tout acquise à la cause du candidat Bussereau, les mines se firent alors d’autant plus contrites que ce dérapage intervenait le jour même de la piteuse sortie de Dominique Bussereau sur les harkis.
Ce n’est pas le mien et ce n’est pas ma manière de faire de la politique.
D’abord candidat malgré lui avant d’être un challenger bien peu encouragé par les sondages, Dominique Bussereau aurait-il alors cette fois quelque difficulté à supporter la pression d’une campagne imposée par l’Élysée, et que tous les observateurs annoncent depuis perdue d’avance?
Colistier du ministre candidat et présent à ses côtés au soir de ce fameux 4 février, le Rochelais Gilles Raveau (UMP) assure qu’aucune consigne d’agressivité politique n’a été donnée aux troupes anti-ségolèniste. Source