Des visas de plus en plus rares pour les invités

Il est rare de voir les responsables de Plein Sud ouvrir le festival sur un coup de gueule. La chose est d’autant plus étonnante que l’édition 2010 du festival des cultures d’Afrique de Cozes est placée sous le signe de la fête, à l’occasion de son vingtième anniversaire.

Pour Nicole Ménier, cependant, la coupe est pleine.

Une nouvelle fois, certains de ses invités ne pourront pas participer aux débats organisés par l’association, faute de visas pour entrer en France.

Mon fils, sélectionné pour un court-métrage à Ciné Sud, n’a pu l’obtenir pour m’accompagner.

«Nous envisageons de nous fédérer au sein d’un collectif pour peser sur les choses, à l’instar de qui s’est créé dans le domaine des musiques actuelles (2)», explique Marion Tessier.

Trois restaient mardi sans réponse, alors même que le festival s’ouvre lundi.

Nous recevons des intellectuels, des syndicalistes, des écrivains, des cinéastes\u2026 Il est malheureux que nous soyons contraints d’adapter une programmation en fonction des seuls impératifs de visas.

Ces derniers répondent avec leur énergie et leur bonne foi.

Mais se heurtent à l’obstination d’une administration hermétique. Source



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