Rencontre avec le Maire de la commune de Arces-sur-Gironde. Une rencontre avec le Maire a permis de faire le point sur la commune. Il semble que tout ne soit pas toujours rose, loin s’en faut.
Par exemple, concernant la vitesse excessive sur l’axe Cozes-Talmont et Talmont-Cozes, le Maire a entrepris des démarches auprès des services de la Direction des infrastructures (ex DDE) et du département. Des documents semblent l’attester. Cette route départementale étant sous la juridiction du département.
Comme nous l’annoncions, la Mairie a fait des demandes pour la réduction de la vitesse en passant de 50 à 30km/h sur l’axe sus-nommé. Nous avons proposé de reculer le panneau d’entrée de commune en provenance de Cozes afin que ce dernier se retrouve avant la montée de la côte. Le Maire a pris cela en considération et une demande sera faite auprès du département. Sachant que cela a déjà été effectué en direction de Talmont en face du “Clos des Moulins”. Concernant le “Clos des Moulins”, il serait préférable que plus personne n’emprunte de sens interdit pour rentrer dans le lotissement. Raison de sécurité.
La question de l’installation d’un radar pédagogique s’est posé. M. Le maire souhaitant acheter un radar pédagogique dans le cas où cela serait pertinent et efficace. Ce qui reste à prouver. Pourquoi ne pas en louer un provisoirement afin de juger de son efficacité ?
Les bandes rugueuses étant à proscrire car faisant énormément de bruit particulièrement la nuit. Les ralentisseurs eux semblent proscrits. Reste la réalisation d’une chicane ou une passement en une seul voie comme à Cozes en direction de Saintes. Mais cela est la même problématique que pour le radar pédagogique. Ce qu’il faudrait c’est faire un test grandeur nature sur plusieurs mois.
La Direction des infrastructures et/ou le département devait réaliser des travaux de voirie, devant la Mairie. Cela n’ayant pu se faire car probablement que l’argent du budget a été englouti ailleurs. Peut-être pour un ami ou une autre commune voire les deux ?
Ce qui est navrant c’est le manque de lucidité de la part de la direction des infrastructures et du département. Car comme trop souvent dans notre société on attend qu’un malheur se produise pour faire quelque chose.
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