L’Agence régionale de santé (ARS) et les pouvoirs publics s’attendent à voir débarquer le moustique tigre à tout moment.
Qu’importe: depuis le 1er mai et jusqu’au 30 novembre, ils invitent la population à participer activement à un vaste dispositif de surveillance de l’insecte connu pour transmettre – «dans certaines conditions particulières» – des maladies comme la dengue, le chikungunya ou le Zika.
Il ne présente un risque pour la population que s’il a piqué, au préalable, une personne déjà infectée, revenant d’un pays où sévissent ces maladies.